La géobiologie comme travail sur Soi

Quand j’étais plus jeune (et même encore parfois maintenant !) j’étais la proie rêvée pour les personnes avides d’énergie : j’avais tellement besoin d’amour que je me laissais pomper par bon nombre de personnes, pas toujours bien intentionnées…
Je pensais – on m’avait appris – qu’il fallait être “gentille” avec tout le monde, et j’ai longtemps fonctionné comme ça.
Gentille pour être reconnue, gentille pour obtenir ce que je voulais (ça c’est de la manipulation, et oui !), gentille pour exister etc…
Mais du coup j’étais épuisée, vidée, très souvent. Bien sûr les gens me prenaient mon énergie, mais je la leur donnais volontiers !
Quand j’ai démarré la géobiologie, j’ai compris qu’avec les âmes humaines – les âmes des personnes décédées – et bien c’était la même chose. J’attirais tout ce qui “bougeait” dans le monde invisible, et hop ! Re-belote ! Mais dans l’énergie subtile, c’est plus grave car cela ne se voit pas…
C’est grâce à la formation en géobiologie que j’ai suivie que j’ai compris que j’étais passeuse d’âmes(1) , car elles venaient souvent me délivrer leur histoire. Aujourd’hui pour décoder l’énergie d’une maison cette compréhension est précieuse car cela permet de dérouler tout ce qui s’est passé et pourquoi certaines énergies sont bloquées, et gênent les habitants.

J’ai remarqué, bien souvent, que les âmes que l’on attire ont une résonance avec nous… Et c’est là que cela devient intéressant !
Je vous donne un exemple. Un jour où nous faisions une harmonisation dans un petit château, une âme vient me squatter. Jusqu’ici rien d’anormal dans mon métier de géobiologue… Sauf que l’insistance de cette dernière me mettait dans un inconfort physique très lourd à supporter : sueurs froides, du mal à respirer etc… Jean m’a fait un soin (ré-alignement) pour que je continue, et là tout s’est déroulé sur un tapis rouge : cette âme – l’arrière grand-mère des habitants actuels – avait vécu un traumatisme amoureux. Elle avait dû se séparer de son frère (vraisemblablement un inceste) pour rester avec son mari dans cette maison. L’ayant très mal vécu (je ressentais toute sa souffrance), son âme s’était brisée en mille morceaux. Et elle avait passé sa vie “à faire bonne figure”, certainement par sécurité, pour ne pas se retrouver à la rue, et avait continué sa vie de famille.
“Faire bonne figure, comme si de rien n’était” : mais c’est tout à fait moi ça ! Pour d’autres raisons, mais toujours dans le style “pompage énergétique”. Quand j’ai compris cela, et que je l’ai exprimé à sa descendance – qui acquiesçait car cela recoupait les informations qu’elle avait – l’âme de cette personne, enfin entendue, était prête à partir.
Mais – c’est là où cela se corse – à une condition : faire un recouvrement d’âme (2) pour cette femme.
Grâce à mes guides, j’ai pu faire le travail demandé, même si je ne savais pas que c’était possible pour des personnes décédées.
J’ai pu donc grandement avancer sur mon chemin grâce à la géobiologie, et les âmes qui sont venues me voir.

N’oubliez pas : l’extérieur est le reflet de notre intérieur. Les âmes humaines des personnes décédées font un effet miroir au même titre que les humains en vie ! Si elles viennent à vous, c’est qu’il y a résonance. En la trouvant, vous faites un pas de géant !

C’est le sujet de notre stage Géobiologie – Phénomènes invisibles des 24-25-26 mai prochain.

Nathalie Renault

(1) Vers 20 ans, j’ai vécu plusieurs années près d’un cimetière et d’un château. Cela m’a ouvert à une autre réalité, et des capacités d’écoute subtile, alors que j’étais très cartésienne à la base.

(2) Un recouvrement d’âme : quand une personne subit un traumatisme, une grande douleur, son âme se morcelle et des fragments vont partir dans le plan astral. Cela donne une personne mal ancrée, incarnée qu’en partie, et en souffrance. Le recouvrement d’âme est une pratique chamanique qui vise à récupérer ces bout d’âmes et les ré-intégrer dans la personne par les chakras. C’est souvent le cas pour les personnes ayant eu “affaire” à des pervers narcissiques.

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