La Vie nous veut du bien

L’être humain a des capacités extraordinaires.

Des capacités d’écoute, de compréhension, de prise de conscience, d’humanité envers les humains mais aussi les animaux, les végétaux, les minéraux.

Des capacités d’éveil, de sagesse.

Or il doit n’en utiliser que 10% environ…

Alors il peut dire que c’est la faute des parents, de la société, du travail, de l’économie, du gouvernement…

Il peut se cacher derrière ses doutes, son manque de confiance. Derrière ses fragilités, ses maladies. Derrière les critiques sur lui-même et les autres. Derrière la télévision…

Tout ça pour ne pas réaliser l’être divin qui sommeille au plus profond de lui.

Il n’ose pas.

Et tant qu’il n’ose pas, il ne prend pas la responsabilité de sa vie, la responsabilité d’oser être qui il est vraiment.

Simplement. Dans l’amour, et non dans l’ego qui va venir contrebalancer justement ce manque de confiance.*

Or la Vie attend de se réaliser à travers nous.

Alors oui, ce n’est pas évident de se réaliser, à travers tout ça, d’exprimer notre potentiel. D’être. On s’en est tellement éloigné…

Mais est-ce plus difficile que de passer à côté de sa vie ? Je vous pose la question.

Est-ce plus difficile que de se cacher derrière un conjoint bougon, une mère abusive, un père absent ?

Or, avant toute chose, la Vie nous veut du bien. la Vie est Amour.

La vie est plus fluide quand on est dans les rails du Soi.

C’est ce que m’ont soufflé les pierres de Bretagne. Parce qu’en vacances j’ai pris le temps de marcher, de méditer tous les jours.

J’ai pris le temps de ne pas trop regarder l’ordi, la tv.

J’ai pris le temps d’écouter le vent dans les arbres, les chouettes la nuit, de regarder les nuages et les étoiles.

J’ai pris le temps d’écouter ce qui se dit à l’intérieur de moi. Et je voulais vous le partager.
Revenir au centre. Toujours.

Douce journée les amies, les amis.

Nathalie Renault

  • Le “Je suis nul” va automatiquement, un jour ou l’autre, se transformer en “Je vais leur montrer de quoi je suis capable, et leur en mettre plein les yeux”, et là c’est l’ego. La déflation du moi entraîne systématiquement l’inflation du moi. C’est à dire que les blessures du petit enfant vont alimenter l’ego pour compenser, et du coup le moi va prendre beaucoup trop de place…

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